Nos formations aux métiers
de l'assurance, du crédit et de l'immobilier.
formation DCI en ligne et formation DDA en ligne

Professionnels, que vous soyez courtier en crédit, courtier en assurance ou agent immobilier, nous vous proposons de répondre à vos obligations de formation continue et de vous mettre en conformité avec les réglementations ALUR, DCI et DDA.

Nos meilleures ventes 2023

Qui sommes-nous ?

Notre centre de formation AM&JT a été créée en 2018 par deux associés, et depuis lors, nous avons connu un développement constant. Notre objectif principal est de vous former aux métiers de l’assurance, du crédit et de l’immobilier. Pour atteindre cet objectif, nous vous proposons des formations 100% en ligne avec un accompagnement 7 jours sur 7, par chat, téléphone et email !

Pourquoi choisir Oorikas.fr ?

Passer par nos formations en ligne offre de nombreux avantages qui vous permettront de maximiser votre expérience d’apprentissage :

  • Flexibilité : Vous pouvez accéder aux cours depuis n’importe où et à tout moment, vous permettant d’apprendre à votre propre rythme et selon votre emploi du temps.

  • Contenu riche et varié : Nos formations combinent différents formats d’apprentissage tels que textes, vidéos, quiz et PDF, pour une approche complète et interactive.

  • Expertise pédagogique : Nos cours sont élaborés par des experts dans leurs domaines respectifs, garantissant des contenus de qualité et pertinents.

  • Mises à jour régulières : Nous nous efforçons de maintenir nos formations à jour pour rester en phase avec les dernières avancées et tendances de chaque domaine.

  • Autonomie : Vous avez le contrôle total sur votre apprentissage, en décidant des sujets à explorer et de la fréquence de vos études.

  • Suivi personnalisé : Certaines de nos formations offrent un suivi personnalisé, des évaluations régulières et des retours pour vous aider à progresser.

  • Économie de temps et d’argent : Évitez les déplacements coûteux et gagnez du temps en apprenant depuis chez vous.

  • Accessibilité : Nos formations en ligne sont ouvertes à tous, quel que soit votre lieu de résidence, vous donnant la possibilité de vous former à des sujets spécifiques, même s’ils ne sont pas disponibles localement.

  • Communauté d’apprenants : Vous aurez l’occasion d’interagir avec d’autres étudiants, d’échanger des idées et de créer des connexions dans votre domaine d’intérêt.

  • Certifications reconnues : Certaines de nos formations offrent des certifications reconnues, ajoutant une valeur supplémentaire à votre parcours professionnel.

Nos formations en ligne sont conçues pour vous offrir une expérience d’apprentissage optimale, flexible, pratique et riche en ressources pour vous aider à atteindre vos objectifs académiques ou professionnels avec succès.

Ils font confiance à notre centre de formation AM&JT

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Service de réception et de transmission d’ordres : l’obligation d’information à la charge du conseiller en investissement financier au regard d’une décision de la Cour de cassation

Il résulte des articles L. 541-1, I et II, L. 544-1 et L. 550-1 du code monétaire et financier, dans leur rédaction issue de l’ordonnance n° 2007-544 du 12 avril 2007, et 1147 du code civil, dans sa rédaction antérieure à celle issue de l’ordonnance du 10 février 2016, que le conseiller en investissement financier peut fournir un service de réception et de transmission d’ordres pour le compte d’un client auquel il fournit une prestation de conseil, le cas échéant par voie de démarchage, et qu’il est tenu alors à une obligation d’information et de conseil.

Banque : l’obligation d’information sur l’adéquation des risques couverts par le contrat à la situation personnelle de l’assuré

Les articles 1315 et 1147 du code civil établissent que lorsqu’un banquier accorde un prêt à son client et lui propose de souscrire à un contrat d’assurance de groupe pour garantir l’exécution de tout ou partie de ses engagements en cas de risques divers, il est obligé de démontrer qu’il a rempli son devoir d’informer le client sur la pertinence des risques couverts par rapport à sa situation personnelle d’emprunteur. La simple remise d’une notice explicative ne suffit pas à remplir cette obligation. Si l’emprunteur choisit de ne pas adhérer au contrat d’assurance proposé par la banque, cette dernière a le devoir de le conseiller sur les conséquences d’un tel choix par rapport à sa situation personnelle et doit prouver qu’elle a rempli cette obligation. Une récente décision de la Cour de cassation en date du 2 mai 2024 (n° 22-21.642) opère un rappel de cette obligation d’information.

Recours personnel : l’inopposabilité des mesures de rééchelonnement à la caution

Un plan de rééchelonnement des dettes est un accord négocié entre un débiteur et ses créanciers, dans le but de restructurer le remboursement des dettes existantes. Ce plan est généralement mis en place lorsque le débiteur rencontre des difficultés financières et qu’il est incapable de rembourser ses dettes selon les termes initiaux convenus. Le rééchelonnement des dettes peut impliquer diverses mesures, telles que la prolongation des délais de remboursement, la réduction des taux d’intérêt, la conversion de dettes en actions ou en obligations, ou même la réduction partielle de la dette elle-même (appelée “décote”). L’objectif est d’alléger le fardeau financier du débiteur tout en permettant aux créanciers de récupérer au moins une partie de leur argent. La Cour de cassation a jugé que les mesures de rééchelonnement des dettes de la débitrice par un plan de surendettement ne sont pas opposables à la caution qui, ayant payé le créancier après l’adoption du plan, exerce son recours personnel.

Service de réception et de transmission d’ordres : l’obligation d’information à la charge du conseiller en investissement financier au regard d’une décision de la Cour de cassation

Il résulte des articles L. 541-1, I et II, L. 544-1 et L. 550-1 du code monétaire et financier, dans leur rédaction issue de l’ordonnance n° 2007-544 du 12 avril 2007, et 1147 du code civil, dans sa rédaction antérieure à celle issue de l’ordonnance du 10 février 2016, que le conseiller en investissement financier peut fournir un service de réception et de transmission d’ordres pour le compte d’un client auquel il fournit une prestation de conseil, le cas échéant par voie de démarchage, et qu’il est tenu alors à une obligation d’information et de conseil.

Banque : l’obligation d’information sur l’adéquation des risques couverts par le contrat à la situation personnelle de l’assuré

Les articles 1315 et 1147 du code civil établissent que lorsqu’un banquier accorde un prêt à son client et lui propose de souscrire à un contrat d’assurance de groupe pour garantir l’exécution de tout ou partie de ses engagements en cas de risques divers, il est obligé de démontrer qu’il a rempli son devoir d’informer le client sur la pertinence des risques couverts par rapport à sa situation personnelle d’emprunteur. La simple remise d’une notice explicative ne suffit pas à remplir cette obligation. Si l’emprunteur choisit de ne pas adhérer au contrat d’assurance proposé par la banque, cette dernière a le devoir de le conseiller sur les conséquences d’un tel choix par rapport à sa situation personnelle et doit prouver qu’elle a rempli cette obligation. Une récente décision de la Cour de cassation en date du 2 mai 2024 (n° 22-21.642) opère un rappel de cette obligation d’information.

Recours personnel : l’inopposabilité des mesures de rééchelonnement à la caution

Un plan de rééchelonnement des dettes est un accord négocié entre un débiteur et ses créanciers, dans le but de restructurer le remboursement des dettes existantes. Ce plan est généralement mis en place lorsque le débiteur rencontre des difficultés financières et qu’il est incapable de rembourser ses dettes selon les termes initiaux convenus. Le rééchelonnement des dettes peut impliquer diverses mesures, telles que la prolongation des délais de remboursement, la réduction des taux d’intérêt, la conversion de dettes en actions ou en obligations, ou même la réduction partielle de la dette elle-même (appelée “décote”). L’objectif est d’alléger le fardeau financier du débiteur tout en permettant aux créanciers de récupérer au moins une partie de leur argent. La Cour de cassation a jugé que les mesures de rééchelonnement des dettes de la débitrice par un plan de surendettement ne sont pas opposables à la caution qui, ayant payé le créancier après l’adoption du plan, exerce son recours personnel.